De temps en temps pour des raisons encore inconnu le Camp Bodeidei est jugé par des jeunes backpackers sans aucune connaissance et aucune expérience sur les activités du camp. Il est tellement facile de palabrer sur ce sujet qui me tiens à c½ur depuis plus de 20 ans. Et de calomnier très méchamment et sans respect de ces 21 ans d’expérience que je partage avec mes amis aborigènes. Je suis profondément touché de lire que nous faisons de l’argent sur le dos des aborigènes et que le camp « n’est qu’une activité mercantile à vocation verte ».
Ce jeune homme vexé par nos échanges de mail est d’une stupidité affolante. Comment comparer Australian Volunteer ou Conservation volunteers in Australia avec Bodeidei Camp, qui sont chargé de réhabilitation et de régénération de la nature sans réelles relations avec les aborigènes. A la différence de Bodeidei qui n’a pas besoin de volontaires pour réhabiliter la nature car elle est encore intouchée mais de personnes prêtes à vivre et à comprendre ce qui se passe aujourd’hui avec le monde aborigène et à nous aider dans toute l’organisation et la maintenance du Camp Bodeidei.
Jeune Romain, je veux que tu apprennes que le camp ne fait pas plus de 60 clients par saison (5 mois) et que le profit est quasiment inexistant.
80/100 des jeunes qui nous contactent pour venir au camp ont fait la démarche d’aller plus loin dans leur recherche que ce que tu l’as été, ayant même trouvé le livre que j’ai écrit. Je te signale que le livre est mentionné sur une des pages de ce site. Le camp n’est pas un acquis, c’est un privilège qui se mérite et toi tu ne le mérite pas et sera comme 80 pourcents des backpackers passés à coté des réalités aborigènes.
Je pense que ton ego te fais faire cocorico sur le site australie-australia,
Amuses toi bien
François Giner
