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21 novembre 2024

Collectionneurs de peintures aborigènes ?

26 sujets de 1 à 26 (sur un total de 26)
  • Auteur
    Messages
  • #42971
    Jeje
    Membre

    Personnellement j’adore la peinture aborigène :inlove:

    Après 4 voyages down under, j’en suis à une quinzaine de peintures. Art de l’australie centrale ou du Kimberley, j’aime les deux. Vraiment je n’ai pas de préférence. Une de mes peintres préférées (ce sont souvent des femmes, vous avez remarqué ?) : Jane Yalunga, la fille de Rover Thomas :thumbsup:

    Suis-je le seul sur ce merveilleux forum à avoir des peintures aborigènes chez moi ?

    Au fait, je ne sais plus où les mettre (les tableaux, pas les forums). Promis, quand j’atteinds 100 tableaux, je vais voir un psychiatre :humour

    #210107
    sophieIDAIA
    Membre

    Bonjour Jéjé,
    Je suis tout à fait d’accord avec toi, il y de quoi tomber amoureux de cet art à la fois contemporain et traditionnel!!

    Moi j’en ai fait mon métier, c’est super intéressant!!
    Je serai ravie d’échanger avec toi et de t’envoyer plus d’infos. On a une démarche d’experts très éthique (ce qui est malheureusement rare dans ce milieu 🙁 ). Nous sommes engagées par des actions concrètes, et le but est de protéger les artistes mais aussi les acquéreurs!
    Et nous avons surtout accès à des merveilles, aux prix des centres d’art!

    Donc n’hésite pas à me donner tes coordonnées, voici mon adresse mail: sophie@idaia.com.au.
    Bien à toi
    Sophie

    #210108
    Ahaw
    Participant

    Salut,
    Je suis également un passionné d’Arts Aborigène.
    Sans avoir les moyens d’être un collectionneur,je suis quand même l’heureux possesseur d’une magnifique toile de Yilpi Marks du centre Ernabella (désert central) : Sand Dune Country.
    😀

    #210109
    Jeje
    Membre

    Ahaaa, je vois que je ne suis pas le seul à être intéressé 😛
    J’espère que d’autres vont partager leur passion pour cet art si fascinant, si… différent.

    Il y a une grande vente aux enchères à Paris début juin.

    #210110
    sophieIDAIA
    Membre

    Ce qui est super, c’est qu’il est tout à fait possible de trouver de très belles oeuvres à des prix tout à fait raisonnables..

    Ca dépend bien sûr des formats et de la cote de l’artiste. Mais lorsqu’on a accès à des structures officielles émergentes, on tombe parfois sur des bijoux à des prix plus que raisonnables!

    As-tu plus d’info sur la vente aux enchères à Paris?

    #210111
    Par Toutatis
    Membre
    sophieIDAIA wrote:
    Ce qui est super, c’est qu’il est tout à fait possible de trouver de très belles oeuvres à des prix tout à fait raisonnables..

    Ah? ou? parce que pendant longtemps j’ai cherché mais les circuits de diffusions sont tous littéralement bouclés par les galeries avec la complicité des chefs de communautés. Aujourd’hui, il est tout bonnement impossible d’accéder aux communautés d’artistes les plus intéressantes sans passer par une galerie.

    #210112
    sophieIDAIA
    Membre

    C’est justement la raison d’être de notre structure IDAIA!!

    Nous sommes basées à Sydney. Nous travaillons exclusivement avec les structures officielles aborigènes.
    Toutes les ½uvres que nous vendons sont disponibles aux prix de vente des centres d’art aborigènes (cooperatives d’artistes officielles) sans ajout de commission.
    N’hésite pas à m’envoyer ton adresse mail si tu veux plus d’infos sur sophie@idaia.com.au.

    A bientôt,
    Sophie

    #210113
    Ahaw
    Participant
    sophieIDAIA wrote:
    C’est justement la raison d’être de notre structure IDAIA!!
    Nous sommes basées à Sydney. Nous travaillons exclusivement avec les structures officielles aborigènes.
    Toutes les ½uvres que nous vendons sont disponibles aux prix de vente des centres d’art aborigènes (cooperatives d’artistes officielles) sans ajout de commission.

    Waouw, ça semble incroyable ça … mais de quoi vivez vous ?
    Avez vous des aides de l’état ?

    #210114
    Par Toutatis
    Membre
    Ahaw wrote:
    Waouw, ça semble incroyable ça … mais de quoi vivez vous ?Avez vous des aides de l’état ?

    Oui, moi aussi j’aimerais avoir des détails…
    Parce que vu la description de ce que tu fais, j’aurais tendance à penser que tu fais partie de ces réseaux qui s’assurent le monopole de groupes d’artistes en les empêchant de vendre autrement qu’en passant par toi ou tes collègues.

    J’ai l’impression que « ces agences de développement » ne sont en fait que des agences de marketing dont le but est de faire monter la cote de l’art aborigène au détriment des artistes et des clients mais au grand bénéfice des galeries. :shark

    J’ai acheté deux toiles il y a 15 ans, à cette époque il devait y avoir deux galeries à Sydney, je les ai eu à un très bon prix même si cela représentait pour moi beaucoup d’argent, aujourd’hui même le clodo de Circular Quay demande plus pour ses croûtes…

    Enfin bon, je reconnais que je ne connais pas grand chose à l’art aborigène, je suis à la base un modeste collectionneur d’art africain, mais quand je vois le business qui s’est mis en place autour de l’art aborigène, cela ne me donne pas envie de m’y investir… 🙁

    Maintenant, je ne demande pas mieux que d’être convaincu du contraire. 😉

    #210115
    sophieIDAIA
    Membre

    C’est clair, l’art aborigène est un marché en plein boom qui attire malheureusement beaucoup de personnes malhonnêtes qui cherchent à profiter, plutôt que de promouvoir cet art unique!

    Donc tu as raison de te méfier et de te poser des questions, c’est le premier conseil que nous donnons.

    Pour notre part, nous sommes fières de clamer qu’IDAIA s’engage pour protéger et promouvoir des pratiques éthiques, favorables à l’art aborigène et aux artistes aborigènes, ainsi qu’aux acquéreurs.

    – d’un coté, en garantissant de bonnes conditions de création et de rémunération honnête des artistes (en moyenne 60-70% du prix de vente par le centre d’art), par opposition à l’exploitation, la pression et les abus exercés par les ‘carpetbaggers’ (‘marchands de tapis’ allant voir directement des artistes souvent illettrés ou dans le besoin).

    – de l’autre côté, en assurant un prix juste pour les acquéreurs correspondant à la réputation des artistes et la valeur des ½uvres, et éviter les pièges couramment pratiqués par les ‘carpetbaggers’ tels que le risque de faux et la production d’½uvres en série ou de mauvaise qualité.

    L’art aborigène est un marché en plein essor mais complexe. Il est notamment célébré par la Commande Publique d’Art Indigène Australien au Musée du quai Branly à Paris, et présent dans un certain nombre de collections publiques majeures en Europe et aux Etats-Unis. Cependant, ce marché se caractérise par une offre foisonnante, des prix et des niveaux de qualité très hétérogènes, et des risques omniprésents quant à l’intégrité des ½uvres en vente et leurs conditions de production.

    Voici les engagements concrets d’IDAIA :

    – IDAIA s’évertue à expliquer ce qui entre en jeu dans le processus de sélection d’une ½uvre,

    – IDAIA soutient les préconisations officielles du rapport de la Commission d’Enquête du Senat sur la viabilité du secteur de l’art aborigène (publié en 2007), et a apporté sa contribution au futur Code de Conduite du Commerce de l’Art Indigène Australien (voir: http://www.australiacouncil.gov.au/news/news_items/consultation_on_draft_indigenous_art_code_of_conduct/submissions_of_draft_indigenous_australian_art_commercial_code_of_conduct/solenne_ducos-lamotte)

    – et surtout, IDAIA recherche des ½uvres exclusivement auprès des structures officielles, les centres d’art communautaires ou les organisations équivalentes, répandus sur le territoire australien.

    Les centres d’art aborigène communautaires sont des coopératives d’artistes appartenant aux Aborigènes locaux, facilitant la production et la distribution des ½uvres d’art, assurant la rémunération des artistes et gérant leurs carrières. Reconnus comme la ‘colonne vertébrale’ de l’art aborigène, ils garantissent l’authenticité des ½uvres et la traçabilité pérenne de leur provenance, ils fournissent un cadre de référence des prix essentiel, et favorisent la transmission des savoirs, l’apprentissage et la cohésion sociale – autant de facteurs cruciaux pour accomplir les qualités esthétiques et la représentation adéquate des rêves des artistes.

    Quand à notre politique de prix, nous n’avons aucune aide de l’état. Les centres d’art nous donnent accès à un prix « whole sale » car nous faisons la promotion de leurs artistes à une échelle internationale, et nous contribuons à leur bon développement et aux bonnes pratiques.
    Ceci est le fruit de plusieurs années de collaboration entre la directrice d’IDAIA et les centres d’art.

    Il est donc regrettable de ne pas vouloir s’investir dans l’art aborigène (qui est en fait bien plus qu’un art) par peur des mauvaises pratiques! Il suffit d’être bien renseigné et de faire appel au bon intermédiaire.

    Notre site internet est en construction, vous pourrez avoir accès à toutes nos infos d’ici 1 mois sur http://www.idaia.com.au.

    En attendant, si vous voulez en savoir plus, je peux vous envoyer présentation, références, etc… donnez moi vos adresses mails sur sophie@idaia.com.au.

    Voilà!! Je pense avoir fait le tour de la question « éthique ». Mais surtout n’hésitez pas à m’écrire sur ma boite mail si vous avez d’autres questions.

    #210116
    Ahaw
    Participant

    Merci pour tous ces détails … mais je réitère :

    Ahaw wrote:
    Waouw, ça semble incroyable ça … mais de quoi vivez vous ?

    Vous parlez de 60 à 70% de rémunération pour l’artiste sur le prix de vente du centre d’art.
    Vous nous donnez donc indirectement la marge du centre d’art.
    Mais quelle est la votre, de marge ?
    Quel est donc le %age final qui reviens à l’artiste sur le prix de votre vente ?

    #210117
    sophieIDAIA
    Membre

    Très simple, en moyenne l’artiste touche 70% du prix du centre d’art de la part du centre d’art.

    Les 30% sont utilisés notamment pour acheter le matériel, et surtout pour contribuer aux dépenses du centre qui sont des vrais piliers sociaux pour les communautés (pas seulement les artistes).
    C’est pour ça qu’il est très important d’éviter de passer par des intermédiaires qui « deal » en direct avec les artistes.
    Les centres d’arts sont les seuls à garantir que l’artiste touche une somme juste. Ils ont aussi un rôle très important, car ce sont eux qui gère les carrières des artistes.

    Voilà pourquoi la politique d’IDAIA est de ne passer uniquement par cette voie.

    #210118
    sophieIDAIA
    Membre

    Je m’aperçois que ma réponse n’est peut-être pas assez claire par rapport à ta question.

    L’artiste touche entre 50 et 60% de notre prix de vente, notre marge varie selon la valeur des oeuvres, les coûts de transport, d’assurance, de taxes, etc…

    Le calcul est fait au plus juste pour avantager l’artiste et l’acquéreur.

    #210119
    Jeje
    Membre

    La peinture est devenue une source importante de revenus pour les communautés aborigènes. Et des margoulins ont flairé la possibilité de se faire de l’argent sur le dos des vendeurs (et des Aborigènes of course). Il y a quelques années, un couple d’Australiens a tenté de vendre de faux tableaux de Clifford Possum Tjapaltjarri. Ils se sont fait pincer et vont avoir de gros ennuis avec la justice 😕

    L’an dernier je me suis rendu dans une grande galerie tenue par des Aborigènes à Alice Springs et j’ai été un peu déçu. Désolé, le nom de la galerie m’échappe.

    J’aime beaucoup les ½uvres de Michael Jagamarra Nelson, je me suis saigné aux quatre veines pour m’acheter un tableau en 2007. Mon compte en banque en tremble encore 😥

    Néanmoins on peut trouver des tableaux relativement abordables. Cela dit, Clifford Possum Tjapaltjarri, Rover Thomas et quelques autres, laissez tomber c’est hors de prix 😆

    #210120
    sophieIDAIA
    Membre

    Je me permets de vous tenir informé de prochains événements à Paris et Lyon, pour les passionnés d’art aborigène:

    IDAIA EN FRANCE – JUIN et JUILLET 2009

    Solenne Ducos-Lamotte, Spécialiste de l’Art Aborigène Australien et Directrice d’IDAIA, a le plaisir de se rendre en France aux mois de Juin et Juillet, et vous propose des activités pédagogiques inédites autour de l’Art Aborigène.

    Conférences Visites Guidées:

    IDAIA vous propose de découvrir ou d’approfondir vos connaissances sur l’art aborigène à travers une série de Conférences Visites Guidées de très belles collections publiques représentant toute la diversité de cet art à la fois ancestral et contemporain.
    Conférencière : Solenne Ducos-Lamotte, spécialiste française d’art aborigène, fondatrice et directrice d’IDAIA.

    *** PARIS: Musée du Quai Branly
    Samedi 20 juin : 10h45 – 13h
    Jeudi 25 juin: 18h45 – 21h
    Jeudi 23 juillet: 18h45 – 21h
    UNIQUEMENT SUR INSCRIPTION ET PAIEMENT PREALABLE
    RDV au milieu du jardin sous le grand bâtiment rouge, entrée Debilly : 37 quai Branly
    Prix: 20.00 ¤ (incluant conférence + entrée du musée)

    *** LYON: Musée des Confluences grande exposition Hors les Murs « Créations contemporaines aborigènes »
    Jeudi 18 juin: 17h30 – 19h
    UNIQUEMENT SUR INSCRIPTION ET PAIEMENT PREALABLE
    RDV à l’entrée de l’IUFM, 5 rue Anselme – 69004 Lyon
    Prix: 10.00 ¤ (incluant conférence – entrée libre)

    Conditions d’inscription et de paiement:
    Demande d’inscription par e-mail à sophie@idaia.com.au, puis paiement par chèque ou virement. Les coordonnées seront fournies lors de l’envoi de la facture, qui fera aussi office de preuve d’inscription.
    Dates limites de paiement: Lundi 15 juin (pour les visites à Lyon et Paris les 20/06 et 25/06) et vendredi 17 juillet (pour la visite à Paris le 23/07).

    Rendez-vous privés:

    Solenne Ducos-Lamotte peut vous recevoir sur RDV lors de son passage en France du 15 juin au 3 juillet et du 20 au 24 juillet. Elle est à votre disposition pour répondre à toutes vos questions et vous présenter de beaux exemples de peinture aborigène sélectionnés auprès de coopératives d’artistes officielles.
    Contact Solenne Ducos-Lamotte pour demande de RDV: solenne@idaia.com.au.

    Voilà!
    Jéjé ça ne remplace pas une toile de Clifford, mais ces visites sont vraiment très enrichissantes…

    #210121
    Par Toutatis
    Membre
    sophieIDAIA wrote:
    L’artiste touche entre 50 et 60% de notre prix de vente, notre marge varie selon la valeur des oeuvres, les coûts de transport, d’assurance, de taxes, etc…

    Bref, vous êtes une galerie… votre activité n’a rien de philanthrope. 😉

    #210122
    sophieIDAIA
    Membre

    Premièrement nous n’avons pas le même activité qu’une galerie (nous avons notamment des galeries qui sont clients).
    Deuxièmement, si tu te bases sur les % que je t’ai donné, je te suggère de creuser le sujet, car ça ne serait pas du tout les mêmes pourcentages si on était une galerie!!!
    Je pense avoir assez mis de détails dans les précédents messages pour que tu vérifies notre « philanthropie ».
    Nous ne prétendons pas être des héros et de sauver la cause aborigène! Nous faisons juste partie des personnes qui se battent pour un art juste, équitable, qui contribuent au bon développement des communautés et des bonnes pratiques.

    #210123
    Jeje
    Membre
    Quote:
    Jéjé ça ne remplace pas une toile de Clifford, mais ces visites sont vraiment très enrichissantes…

    Zut j’ai reçu ce mail à propos des activités à Paris et j’ai oublié de répondre alors ça c’est ballot 😕

    Au fait il y avait une vente aux enchères il y a quelques jours mais je n’y suis pas allé. Mon compte en banque est menacé par une grosse dépense imprévue et voir défiler des ½uvres de Dorothy Napangardi et Kathleen Petyarre c’est frustrant…

    #210124
    Ahaw
    Participant

    Sophie, si je comprend bien, sur une toile à 1.000 $ :

    Commission d’IDAIA : 450 $ (45% des 1.000 $)
    L’artiste : 550 $ (55% des 1.000 $)
    Prix d’achat au centre d’art : 786 $ (si 550 $ représente 70% du prix de vente au centre d’art)
    Commission du centre d’art : 236 $ (soit 30% restants)
    (ça me semble un peu tortueux comme calcul de baser le %age des deux étapes d’achat/vente -celle au centre d’art et celle d’IDAIA- par rapport à ce que touche l’artiste…)

    C’est bien ça ?

    Pourtant, le 12 mai tu disais :

    sophieIDAIA wrote:
    (…) Toutes les ½uvres que nous vendons sont disponibles aux prix de vente des centres d’art aborigènes (cooperatives d’artistes officielles) sans ajout de commission. (…)

    Ce n’est pas intrinsèquement honteux de fonctionner plus ou moins comme une galerie tant que les marges restent honnêtes.
    Je ne suis pas un spécialiste des marges des galeries, mais je pense qu’elles sont effectivement bien plus élevées (en tout cas en France, avec le transport et la rareté) que 45% de ce que touche l’artiste. (tu es sûr que c’est bien ça que tu voulais dire, et pas 45% du prix auquel vous l’avez acheté au centre d’art ? Ça semblerait plus logique)
    Par contre, effectivement, il vaut mieux ne pas induire les acheteurs en erreur : vous n’êtes apparemment pas un organisme caritatif ou philanthropique, et malgré toute la passion qui émane de tes messages, c’est quand même un business.

    #210125
    Par Toutatis
    Membre
    Ahaw wrote:
    Par contre, effectivement, il vaut mieux ne pas induire les acheteurs en erreur : vous n’êtes apparemment pas un organisme caritatif ou philanthropique, et malgré toute la passion qui émane de tes messages, c’est quand même un business.

    +1
    Il n’y a aucun mal à faire du commerce de peintures aborigènes mais le discours que tu tiens ici et la dénomination de ton entreprise laissent penser que vous faites tout cela pour la bonne cause.

    #210126
    Mad
    Membre

    Je découvre ce chat d’amateurs de peinture aborigène encore trop rares en France, cela fait plaisir. Je suis personnellement très sensible à cette vibration. Cette culture est passionnante et a beaucoup à nous enseigner. J’ai trouvé sur la toile des sites interessants par les images ou pour aller un peu plus loin dans la compréhension de la dimension religieuse de cette peinture qui me fait penser par certains côtés aux peintres du moyen âge qui ne signaient pas mais dont les oeuvres portaient la spititualité de l’époque.
    Je mets ici quelques liens vraiment interessants
    http://www.austra-boriginal.org/index.
    http://www.artaborigene.com/
    http://www.peintureaborigene.com/
    http://fran6co.sur-la-toile.com/dossiers/html/didj-liens.htm#bd
    http://www.artsdaustralie.com/
    http://collection-ben.blogspot.com/

    #210127
    Ahaw
    Participant

    LoL 😆
    Ça me fait plaisir d’être cité parmi ces « liens vraiment intéressants » :
    http://fran6co.sur-la-toile.com/dossiers/html/didj-liens.htm
    😀 🙄 😎

    #210128
    Jeje
    Membre

    Ça y est j’y suis. La galerie que j’ai visitée l’année dernière à Alice Springs s’appelle Papunya Tula. Et j’avoue que j’ai été un peu déçu…

    Sur leur site ouèbe, on trouve des œuvres magnifiques :thumbsup:

    http://www.papunyatula.com.au

    #210129
    Ahaw
    Participant

    Papunya Tula ! Rien que ça !
    C’est bien plus qu’une galerie, c’est le tout 1er centre d’art aborigène !
    C’est là qu’est né ce mouvement artistique à la fois moderne et ancestral en 1971 grace à Geof’ Bardon et à quelques Elders Aborigènes !
    C’est un vrai mythe cet endroit là !

    #210130
    Jeje
    Membre

    Effectivement ce nom est un mythe à lui seul. Néanmoins les œuvres exposées à Alice Springs étaient quelque peu décevantes. Les plus intéressantes étaient déjà vendues 😉

    #210131
    Cairns
    Participant

    j’Ai Lu 😀 … mais J’Avoue que J’aurai Bien Voulu Voir Illustrations :| 😉

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