amandine wrote:
salut tt l monde!!!!!! voila je sui scout é pdt le camp je vais devoir préparer 1veillée sur l australie… 🙂 alor j aimerai bi1 savoir kels jeux je pourrai faire pdt ma veillée car je ne connais pa bi1 ce pays… 🙁 ca serai tres sympa si vs pouviez m aider!!!!c tres importan…merci d avance…repondez le plus vite possible avant le 15juillet….
Amandine,
Je suis rentrer chez moi, g donc pu te trouver l’info:
Bon ça va être long, mais g t’écris tous pour toi é les autres (Histoire et Règles).
Le Two-Up: :onfire:
De l’extérieur, ce jeu aux règles élémentaires peut sembler puéril. Posez 2 pièces de monnaie en équilibre sur un petit bout de bois plat, puis, d’un coup de poignet, jetez les pièces en l’air. Si elles retombent sur le sol toutes deux d’un même côté, pile ou face, le jeu commence. Autrement rejouez. Rien de plus simple.
Pourtant, ce jeu de hasard, connu sous le nom de two-up, occupe une place privilégiée dans le patrimoine culturel australien et, un jour par an, tient le rôle important dans la commémoration des soldats australiens morts au combat. (pas très drôle 🙁 )
L’histoire raconte qu’il dérive du Pitch and Toss anglais, importé par les premiers bagnards en 1788. Le jeu, ne nécessitant qu’un petit espace et des parieurs, gagne bientôt en popularité mais attire inévitablement l’attention des autorités qui l’interdisent aussitôt. Tout au long du XIXe siècle, la police tente en vain de l’éradiquer. (pffffffffffffffff 😮 ) Un raid nocturne sur une two-up school – terme désignant tout lieu où l’on pratique le two-up – aura pour simple conséquence de disperser l’assemblée pour la nuit, qui réapparaîtra dans un autre endroit le lendemain.
Le jeu se répand tout simplement parce qu’il est impossible de le contrôler. Mais ce sont les soldats australiens de la première guerre mondiale qui donneront au two-up ses lettres de noblesses. Au fond des terribles tranchées de Gallipoli, les soldats passent le temps de la peur en ce concentrant sur le jeu.
On raconte même qu’un jour les Trucs auraient décidé de ne pas bombarder ce qu’ils crurent être une cérémonie religieuse – en réalité, une assemblé de soldats réunis autour d’une partie de two-up !
A présent, chaque année lors d’Anzac Day, le 25 avril, presque tous les pubs ou clubs d’Australie organisent une partie de ce jeu. (légale uniquement ce jour là) Le lanceur n’est autre qu’un vétéran des Anzac (bataillons australiens et néo-zélandais). De midi au coucher du soleil, hommes et femmes en âge de boire ont officiellement le droit d’y participer.
Le reste de l ‘année, le jeu n’est permis que dans les casinos accrédités, et à la légendaire Kalgoorlie School d’Australie-Occidentale. Ce monument en tôle ondulée, située dans le maquis à quelques kilomètres de Kalgoorlié, n’est autre que le haut lieu du two-up. Longtemps le repaire favori des mineurs qui extrayaient l’or de la région, l’établissement, appartenant à la même famille depuis des dizaines d’années, n’a été officiellement autorisé qu’en 1983. Les circonstances qui entourent cette décision font aujourd’hui partie du folklore australien. A l’occasion de la course hippique le Kalgoorie, la police locale décide de faire une descente sur les lieux et prennent dans leur filets bon nombre de notables de la région ! par crainte du scandale, le gouvernement de l’état décide alors de légaliser le jeu, à une seule condition : que les femmes, traditionnellement exclues des two-up schools, puissent pénétrer l’enceinte bordée de tôles et découvrir à leur tour le plaisir de crier : « Come in spinner !!! »
Ouffffffffffffffffff, l’historique c fé.
Les règles du Jeu :
Une des principales qualités du two-up se trouve dans la simplicité de ses règles, peu nombreuses à apprendre, qui rend presque impossible toute tricherie. Le jeu, prenant place dans un cercle de taille variable, est contrôlé par le boxer (arbitre), qui donne au spinner (lanceur) un petit bout de bois plat, le kip, sur lequel il pose deux pièces (une vraie partie n’utilise pas la monnaie actuelle, dollar ou cent, mais le penny anglais). Les joueurs, debout autour du cercle, parient sur le résultat (deux piles ou deux faces). Si vous avez la chance de jouer le jour d’Anzac Day les paris sont pris contre les autres joueurs. Au casino, c’est contre la maison. Quand les paris sont pris, le boxer crie, impassible : « Come in spinner ! » (entrez lanceur !), cri repris par les parieurs. Le spinner s’avance pour lancer les pièces. Si les pièces ne retombent pas du meme coté, il lui faut relancer jusqu’à obtention du résultat. Le but du lanceur est de réussir trois paires de faces de suite, et de récolter ainsi l’argent parié contre lui. Si le lanceur obtient une paire de piles ou cinq lancers dépareillés, il perd et le « kip » revient alors à qui veut prendre place dans le cercle.
Oufffffffffffffffffffffffffffffffff, c fini !!! :sleepy:
Bon j’espere t’avoir bien aidé.
Lolette 🙂
, le il y a 20 années et 5 mois.
